SIXIÈME SENS
Jean François SOYEZ

Wattrelos le Lettre du samedi 18 septembre 2004

Madame, monsieur,

L'été pluvieux a laissé place à une rentrée ensoleillée et avec elle quelques nouvelles à vous annoncer.

Sachez d'abord que notre revue Info Sixième Sens N°9 est disponible au format papier contre la modique somme de 3 euros (gratuite pour les membres actifs). Cette revue est également disponible au format PDF contre la modique somme de 1,50 euro .

Attention, l'envoi se faisant par mail, assurez-vous que vous pouvez télécharger , dans votre boîte à lettre, des fichiers lourds (chose impossible avec une adresse Yahoo, Hotmail...).

Si vous connaissez et appréciez déjà notre revue, faites-la donc faire découvrir à vos amis. Chacun de ces euros est important pour notre association car, je vous le rappelle, nous fonctionnons sur les cotisations de nos membres, mes propres deniers et ne recevons aucune subvention. A priori, on n'aide pas les associations qui veulent faire de la recherche dans le domaine de la parapsychologie mais on autorise aisément n'importe quel quidam à se déclarer voyant ou pire parapsychologue et à en faire un business lucratif .

Il est vrai que notre vocation n'est pas de faire de l'argent mais de contribuer à faire avancer les recherches, les connaissances - la science aussi - dans le domaine de l'inexpliqué.

Une autre de nos missions : Lutter contre le charlatanisme et l'escroquerie! Les courriers envoyés à Monsieur le Président de la république , pour réclamer des moyens d'étudier la parapsychologie et les moyens de lutter efficacement contre les abus en tous genre sont restés lettres mortes.

Peut être aurais-je la possibilité de me rappeler aux bons souvenirs de notre Président dans un prochain documentaire en préparation... Vous en saurez plus le moment venu.

Briser le tabou du paranormal . Tel est mon objectif. Mieux comprendre et étudier la parapsychologie , avec toute personne le désirant, est ma volonté. Dénoncer les pratiques malsaines et illégales est mon devoir.

Ces points de vue, nos membres les ont accepté et les partagent aussi. Je leur dis merci et bravo pour le courage qu'ils ont.

Du courage - mais aussi la volonté de continuer - il en faut lorsque l'on constate que certains mails ne vous parviennent pas (alors que toutes les configurations de la messagerie sont bonnes) ou bien que votre courrier postal s'évapore quelque part entre sont point de départ et notre siège. Il faut de la résistance aussi pour supporter que des enveloppes avec des sujets confidentiels vous soient remises " recollées ". Tout cela est arrivé .

Les plaintes n'ont pas amélioré les choses et les dossiers sont restés clos; sauf peut être le dernier recours contre La Poste.

Celles et ceux d'entre vous, qui me connaissent bien, savent que je n'ai pas tendance à la paranoïa. Ce que je viens de vous confier a été constaté . Je me décide à en parler publiquement afin que vous sachiez que je n'ai rien à cacher et que ces hautes autorités qui nous surveillent peuvent tout à fait faire leur boulot mais , que diable, qu'elles me renvoient les mails, les courriers postaux et qu'après avoir fouillé nos poubelles elles aient le réflexe de remettre les détritus dans le réceptacle!

A partir du moment où la confidentialité est garantie aux membres et témoins que nous rencontrons je n'ai rien contre le fait que certains services d'états se renseignent.

Je n'ai rien à cacher et si je peux être utile à nos concitoyens je rendrai service avec plaisir. Qu'on se le dise !

Pour terminer cette lettre, d'un ton différent de d'habitude , je vous annonce la parution d'un livre écrit par une amie de Sixième Sens, Madame Dubuc Jocelyne . Son livre s'intitule : "Le chemin d'à côté". Il s'agit dans cet ouvrage de vous faire partager les confidences qu'elle a eu avec son fils Guillaume, tragiquement et trop vite disparu ... Un livre d'intenses émotions, bien écrit, qui vous prendra aux tripes. Un ouvrage écrit avec amour. H'histoire d'une mère et d'un fils qui se retrouvent sur « des chemins parallèles » . Un coup de coeur!

Bien cordialement à tous,

Jean François SOYEZ